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Par artmic le 12 Août 2018 à 13:48
Harper’s Bazaar, January 1963
Parkinson
1967
Luisa Bianchin Sonia Sieff (fille de jeanloup Sieff)
Björk Juergen Teller
Jean - Paul Gaultier
Jean - Paul Gaultier
Alexander Mcqueen
Alexander Mcqueen
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Par artmic le 12 Août 2018 à 14:00
Sonia Biacchi
Julia Lillard
Douglas Coupland
Hortz Heins Bergmann
Hortz Heins Bergman
portrait de Picasso Doisneau bien sûr en 1952
William Klein
Frank Horvat
Eric Forey
William Klein
Maurice Beck and Helen Macgregor Cecil Beaton 1927
Grazetti circus serie mexicab circus Mary Ellen Mark 1997
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Par artmic le 12 Août 2018 à 13:55
On the beach
Magazine Life
"fashion models on beach" Nina Leen (encore)
Nina Leen 1950
Nina Leen
Nina Leen 1955
Nina Leen
"Sand fence" Fernand Fonssagrives 1930
Né en 1910, décédé en 2003, sa femme danseuse sera son modèle. Elle sera ensuite mannequin, puis elle deviendra la femme d'Irving Penn.
Tom Palumbo
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Par artmic le 12 Août 2018 à 13:57
Une introduction en beauté
"Florette dans le Morvan" Lartigue 1954
Depuis le 24 juin 2015, ula maison européenne de la photographie consacre une exposition à ce photographe magnifique dont on connait peu l'oeuvre en couleurs! et quel dommage!
"Lartigue a pratiqué la couleur à deux périodes de sa vie.
DE 1912 À 1927 : LES AUTOCHROMES
Ils sont rares et précieux. Une trentaine sur les 87 conservés à la Donation Lartigue sont montrés dans l’exposition.
Avec l’enthousiasme de la jeunesse (il a 18 ans) et une fascination pour les “nouvelles technologies”, Lartigue expérimente le procédé autochrome, technique récemment commercialisée par les frères Lumière. Les plaques de verre de format 6×13, stéréoscopiques qu’il utilise permettent de voir en relief et supposent des perspectives choisies. La couleur, le mouvement et le relief sont autant de manières d’attraper l’insaisissable et la vie. Cependant la lourdeur de l’équipement et la lenteur du temps de pose l’amènent à délaisser cette technique et donc la couleur.À PARTIR DE 1949 : LE FILM COULEUR
Après vingt ans de photographie en noir et blanc, Lartigue s’intéresse de nouveau à la couleur. Avec son Rolleiflex, il privilégie le format carré jusque dans les années soixante-dix tout en pratiquant avec son Leica le format 24×36.
Toujours fidèle à lui-même, il continue à documenter sa vie, à enregistrer les moments qui lui sont chers : “Je suis empailleur des choses que la vie m’offre en passant“ (journal manuscrit, Paris, 1968). Par exemple, heureux avec sa jeune épouse Florette, il photographie Florette. Ses photographies sont si bien composées qu’on pourrait les croire mises en scène ou retouchées, en un mot fabriquées alors qu’elles sont toujours le fruit de la spontanéité et le miroir des plaisirs qu’il prend dans la vie. Pour ce photographe instinctif, la couleur célèbre la joie, la sensualité et se prête, mieux que tout, à la célébration du printemps, des saisons, du ciel et de la beauté sous toutes ses formes sensibles.Qu’il ait été jeune ou âgé, Lartigue a toujours eu l’esprit juvénile. Rares sont ceux qui conservent leur vie durant une fraîcheur enfantine, une curiosité et un émerveillement comparables. “Lartigue n’a pas vieilli d’une heure depuis sa première photo” écrit René Barjavel en avril 1972. Est-ce cela qui explique la modernité évidente de ses photographies ? Une modernité – faut-il le préciser – que la couleur exacerbe au point de lui donner une sensibilité quasi contemporaine. Preuve supplémentaire, si elles datent bien des années 1950 ou 1960, ses images ne sont jamais nostalgiques pour autant. Leur énergie n’est pas celle du passé et Lartigue est définitivement une créature du futur.
Conscientes de la responsabilité qu’il y a à exposer plus d’une centaine de photographies inédites et dans le souci de rester fidèles à Lartigue, nos avons opéré une sélection à partir des choix de Lartigue lui-même. Les albums qu’il a réalisés au fil des ans, permettent d’en garder la trace. Quelques pages seront d’ailleurs exposées.
Nous avons décidé de privilégier le format 6×6 qui traduit à la perfection la vision achevée de Lartigue. Preuve en est qu’il ne les recadrait jamais.
Comme il n’existe pas de tirages couleurs de l’époque, excepté ceux que Lartigue a collés dans ses albums, les épreuves de l’exposition sont des tirages pigmentaires faits à partir des positifs originaux."
Martine d’Astier et Martine Ravache
commissaires de l’expositionBlack, White and red checked dressy Adrian John Rawlings dans Vogue en 1944
Et cette superbe photo!
Laslo Moholy Nagy dont j'apprécie l'oeuvre dans sa globalité!
Mme Yévonde 1925
Man Ray
Fernand Fonssagrives 1950
Fernand Fonssagrives
"Chequered" modèle Lisa Fossagrives Fernand Fonssagrives 1950
Colette et sa compagne Henri Cartier - Bresson 1946
Lisa Fossagrives Irving Penn, années 50
Clément Balavoine
"Pergola" Harold Cazneaux 1931
Zoltan Glass
Solve Sundsbo
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